mardi 30 novembre 2010
L'initiative
Dominique Chrissement est installé depuis deux ans dans la commune. Officier général à la retraite, il a passé ses huit dernières années de carrière à Paris. Il était « l'interface entre les autorités militaires et les civils pour la fourniture de moyens militaires en cas de crises ou de catastrophes ». Il a gardé une petite activité de consultant en gestion des risques en tant qu'indépendant et se déplace deux à trois fois par mois à Paris pour des sociétés de conseils et d'intelligence économique.
Identifier les risques
En septembre 2009, il a rencontré le maire Didier Miriel, lui proposant de réaliser bénévolement le plan de gestion des risques de la commune. La mission lui a été confiée en collaboration avec Rémi Huet et Philippe Gélard, adjoints sous l'autorité du maire. « Je ne souhaitais pas travailler seul mais impliquer les personnes en charge de la gestion de crise », explique-t-il....
Un plan de sauvegarde pour pallier toute catastrophe - Plélan-le-Petit
vendredi 28 janvier 2011Au travers d'un document de 67 pages, le plan communal de sauvegarde (PCS) est désormais écrit et opérationnel. Il est le résultat d'un travail mené par le général Dominique Chrissement, militaire à la retraite, en collaboration avec le maire Didier Miriel et une délégation d'élus : Rémi Huet et Philippe Gélard adjoints.
Dominique Chrissement, habitant de la commune. Cet arrêté sera transmis aux services de la préfecture.
un arrêté d'approbation du plan communal de sauvegarde (PCS) créé il y a environ deux ans parCe plan a été conçu pour répondre à des situations d'urgence pouvant survenir (tempêtes, inondations, accidents, pollution, coupure de courant importante...) dans la commune et visant à déployer les moyens humains, techniques et matériels nécessaires pour faire face à la situation de crise. Plusieurs exercices de simulation ont déjà été organisés pour les élus et le personnel communal et d'autres le seront à l'avenir.
2009, selon nos sources: informations sur une entreprise | |
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5 RUE DE LA VALLEE 22980 PLELAN LE PETIT | |
51081295100018 numéro de siret | |
Chrissement Dominque, Yves, Marie | |
7022Z code Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion | |
01-03-2009 déclaration | |
La personne qui réalise le plan de sauvegarde s'exprime dans la presse
sur un autre sujet....le petit bleu 20 juin 2013
MARIAGE HOMO...BIEN TRISTE SAMEDI à PLELAN/ La porte ouverte à la polygamie, à l'inceste..etc...
Toute expression outrageante, tout terme de mépris qui n'est fondé sur aucun fait est une injure. L'injure peut être privée ou publique (lorsqu'elle intervient dans l'espace public) :
- discours, cris ou menaces proférés dans des lieux ou réunions publics ;
- écrits, imprimés, dessins, gravures, peintures, emblèmes, images ou tout autre support de l'écrit, de la parole ou de l'image, vendus ou distribués, mis en vente ou exposés dans des lieux ou réunions publics ;
- placards ou affiches exposés aux yeux du public ;
- tout moyen de communication au public par voie électronique
Si l'injure est homophobe, les peines sont aggravées : 6 mois d'emprisonnement et 22 500 € d'amende. Les peines sont les mêmes en cas d'injure publique visant un groupe de personnes et fondée sur leur orientation sexuelle.
L'appel à la haine et/ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de son ou de leur orientation sexuelle est puni d'un an d'emprisonnement et/ou d'une amende de 45 000 €.
Lorsqu'une plainte est déposée pour injure ou diffamation publique, les services de police transmettent le dossier au procureur de la République. Si celui-ci ne prend pas de décision dans les trois mois suivant le dépôt de plainte, l'action en justice n'est plus recevable, il y a prescription.
SOS homophobie - 34 rue Poissonnière - 75002 PARIS
Dernière mise à jour : 26 juin 2013 le petit bleu facebook
La semaine dernière, notre journal a publié une tribune libre de Monsieur Dominique Chrissement, de Plélan-le-Petit, consacré au ‘mariage pour tous’. Les propos de l’auteur ont choqué certains lecteurs qui nous ont adressé des courriels de protestation, ne comprenant pas que nous donnions la parole à ce monsieur qui écrit, entre autres que« faire sauter le verrou de la conception traditionnelle du mariage c’est la porte ouverte à la polygamie, à l’inceste et à bien d’autres dérapages ». Un de nos interlocuteurs prétend que nous nous cachons derrière la responsabilité de son auteur pour diffuser des « idées nauséabondes ». Rien de moins.
Avant de publier cette tribune, la rédaction du Petit Bleu s’est bien sûr concertée et à décidé de la passer au nom de la liberté d’expression. Au nom de quoi devrions nous ne diffuser que les idées avec lesquelles nous sommes en phase?
Notre journal s’intéresse depuis longtemps à ce sujet de société qu’est le mariage pour tous et se l’est aussi vu reprocher. Il n’a jamais hésité à y consacrer de gros dossiers et même à en faire sa Une en donnant la parole aux premiers intéressés (déjà le 2 février 2006) puis aux élus (1er novembre 2012) ainsi que le 23 mai dernier en annonçant le mariage de Dimitri et Claude. Notre hebdomadaire était aussi présent à la cérémonie à Plélan-le-Petit pour en rendre compte à nos lecteurs.
Les arguments émis par Dominique Chrissement ont déjà été entendus et largement relayés par des médias nationaux. Savoir que de telles idées existent, c’est en soi une information. Édulcorer cette tribune, en extraire tout propos susceptible de choquer, aurait donné une autre vision du raisonnement de Dominique Chrissement et cela aurait trompé nos lecteurs. Nous persistons à penser qu’il vaut mieux laisser le texte intégral à leur libre appréciation ; qu’il n’est nul besoin de préciser que les propos des tribunes libres n’engagent que leurs auteurs.
Un détail manquait cependant à cette tribune : Dominique Chrissement (par ailleurs général à la retraite qui a réalisé le plan de gestion des risques pour la commune de Plélan-le-Petit) ne nous avait pas précisé qu’il est un membre important du mouvement Civitas, ce qu’il nous confirme aujourd’hui. Civitas ? C’est un mouvement intégriste, défini comme proche de l’extrême-droite, qui veut instaurer « la Royauté sociale du Christ sur les nations et les peuples en général, sur la France et les Français en particulier ». Une « œuvre de reconquête politique et sociale visant à rechristianiser la France »dont on a effectivement beaucoup entendu parler à l’occasion des manifestations anti-mariage pour tous. Voilà qui est dit.
La Rédaction
le petit bleu 4 juillet 2013
élection municipale 2014 à St Malo
Dominique Chrissement, Catherine Giraud-Petit, Jean-Louis Robin et Henri Huët, défendront les couleurs du FN (cf actualisation à la rubrique "élections")
des images "grand angle"
Cela devait être le grand rendez-vous de l'extrême droite catholique., mouvement intégriste proche de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, la "grande manifestation nationale" du dimanche 18 novembre à Paris, a réuni plusieurs milliers de personnes. Une mobilisation, certes importante, mais bien en deçà de celle des manifestation de la veille, appelées par une dizaine d'associations, moins marquées politiquement et qui bénéficiaient du soutien tacite des autorités catholiques. En effet, les manifs du samedi avaient, entre autres, pour but de ne pas laisser le champ libre à Civitas. Sur ce point, elles ont parfaitement rempli leur rôle.
Le défilé de Civitas "contre l'homofolie" s'est ainsi résumé à une grande réunion des familles de l'extrême droite. De l'Action Française au Mouvement national républicain (MNR, ex formation de Bruno Mégret) en passant le Parti de la France de Carl Lang, le Renouveau Français, de la Renaissance catholique, l'Alliance Royaliste ou encore de quelques militants du GUD. L'on remarquait aussi le chanteur du groupe de rock Hotel Stella, membre du Bloc identitaire. Il y avait aussi un petit cortège d'une vingtaine de personnes des Jeunesses nationalistes qui dénotaient fortement avec leur look skinhead du reste des manifestants.
Plus surprenant, plusieurs personnalités du FN avaient fait le déplacement "à titre personnel". Comme la vice-présidente du FN Marie-Christine Arnautu, Alexandre Simonnot, Cyril Bozonnet et Jean-Marc de Lacoste-Reymondie, Gonzague Malherbe ancien candidat à la législative de la 12e circonscription de Gironde ainsi que quelques militants FNJ franciliens. Selon Mme Arnautu, Bruno Gollnisch et Gilbert Collard devaient aussi venir. Marine Le Pen n'a pas souhaité que le FN appelle en tant que tel à participer aux manifestations anti-mariage homosexuel. Elle a en revanche laissé la liberté à ses militants d'y aller ou pas.
M. Gollnisch avait déjà fait la manifestation du samedi, où s'étaient signalés plusieurs élus parisiens de l'UMP comme Bernard Debré ou Claude Goasguen. Le député du Vaucluse Jacques Bompard a lui aussi fait les deux manifestations. Il était dimanche en tête du cortège.
Incidents
Les manifestants ont défilé aux abords du ministère de la famille dans le 7e arrondissement de Paris, scandant notamment: "Première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants d'hétéros"; "La France veut du boulot, pas le mariage homo" et "Hollande, entends-tu la France est dans la rue".
En marge de la manifestation de dimanche, des incidents ont eu lieu. Des militantes du mouvement féministe ukrainien Femen et des journalistes, parmi lesquels Caroline Fourest, ont été pris à partie et certains "roués de coups" lors de cette manifestation. "Une dizaine de militantes des Femen avaient décidé de faire une protestation pacifique et drôle, d'arriver habillées en nonnes avec des slogans humoristiques, et quand elles se sont avancées vers les manifestants, des types les ont pris en chasse, déchainés", a raconté Mme Fourest. "Les filles ont pris des coups dans toutes les parties du corps", ainsi que des journalistes qui les avaient filmées. Des photographes ont été "molestés", a également rapporté un photographe de l'AFP.
Le bilan pour Civitas dimanche soir est donc mitigé. Ses membres ont consacré beaucoup de moyens financiers (1 millions de tracts imprimés) pour organiser une démonstration de force qui n'a pas eu lieu. C'est donc une occasion ratée pour la direction remaniée du mouvement intégriste, de marquer son arrivée avec un succès.
En effet, Jean-Claude Philipot, ex commissaire général de l'armée de terre a été promu n°2. M. Philipot, il y a quelques années, était délégué général de Dies Irae, petite formation d'extrême droite catholique girondine dont les méthodes militarisantes connurent un certain succès médiatique. L'ancien officier d'Etat major, Dominique Chrissement a pris la direction de la revue de Civitas. Il était auparavant secrétaire général du mouvement.
Alain Escada, quant à lui, est devenu président de Civitas, remplaçant le très âgé amiral François de Penfentenyo. M. Escada résume son parcours ainsi: "Né à Bruxelles, c'est là que j'ai commencé à militer. J'ai eu le privilège, très jeune, d'être formé par le Lieutenant-Général Emile Janssens, dernier commandant en chef de l'armée coloniale belge puis rédacteur auprès de nombreuses publications catholiques en Europe et qui avait connu des personnalités comme Mgr Lefebvre [évêque schismatique, fondateur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X. NDLR] et Salazar [ancien dictateur portugais. NDLR]."
Il faut préciser que Civitas privilégie deux canaux de recrutement : les militaires de haut rang, comme on vient de le voir, et les chefs d'entreprise.
Dans le cadre des réunions publiques organisées à travers toute la France pour permettre aux Français d'accéder à un débat jusqu'à présent confisqué, CIVITAS présentera les véritables enjeux et conséquences du projet de loi visant à légaliser le "mariage" homosexuel et l'adoption d'enfants par les duos homosexuels.
Jusqu'à présent, seuls les partisans de ce projet de loi ont le droit de s'exprimer dans les médias. Il est temps de libérer les Français de cette pensée unique et de les autoriser à entendre les arguments de ceux qui refusent que l'Etat dénature la Famille, le mariage et la parenté.
RDV ce 15 octobre à 20h30
Salle Jean Barthe
Rue Jean Barthe (Bergerac)
Conférence - débat avec Dominique Chrissement
Dans le cadre des réunions publiques organisées à travers toute la France pour permettre aux Français d'accéder à un débat jusqu'à présent confisqué, CIVITAS présentera les véritables enjeux et conséquences du projet de loi visant à légaliser le "mariage" homosexuel et l'adoption d'enfants par les duos homosexuels.
Jusqu'à présent, seuls les partisans de ce projet de loi ont le droit de s'exprimer dans les médias. Il est temps de libérer les Français de cette pensée unique et de les autoriser à entendre les arguments de ceux qui refusent que l'Etat dénature la Famille, le mariage et la parenté.
RDV ce 16 octobre à 20h30
Salle 2 du Lux
81 rue Talleyrand-Périgord (Périgueux)
Conférence - débat avec Dominique Chrissement
Par
Dimanche dernier, sur le parvis de Notre Dame à Paris, les Verts, Act-Up et le PC manifestaient gentiment contre les dernières déclarations du pape Benoit XVI sur le préservatif. Face à eux, un petit groupe de cathos traditionnels arborait un badge « Touche pas à mon pape ». Rien de bien grave : les militants avaient même été soutenus par la grande Frigid Bardot, star des nuits parisiennes low cost et épouse de Bacille de Koch, l’ex plume de Pasqua.
Sauf que cent cinquante nervis d’extrême droite survenaient sur les lieux et frappaient brutalement quelques militants de gauche. Résultat : deux blessés dans le premier camp, dix sept interpellations dans le second camp
Cette initiative musclée est la première, depuis des mois, à rassembler autant de militants de l’extrême droite radicale. Étaient présents le responsable des Jeunesses identitaires, ainsi que des membres du Rassemblement des étudiants de droite (RED) et des militants des Camelots du Roi.
Jolie troupe, dont le noyau était constitué de quelques dizaines d’allumés de « Civitas ». Lequel mouvement est un avatar de « la Cité Catholique », un groupuscule qui fut, pendant la guerre d’Algérie, l’interface entre l’extrême droite et les militaires de l’OAS.
Les services du ministère de l'intérieur voici deux ans, (2007) avaient noté la présence dans cette discrète organisation du colonel Chrissement, colonel d’active. Autant dire que « Civitas » compte encore des relais importants dans l’armée
Il m’est agréable de vous annoncer qu’Alain Escada est désormais nommé Président de l’institut Civitas. Il a pris ma suite à la date du 15 mai. Cumulant en quelque sorte deux fonctions, de Président et de Secrétaire général, il était nécessaire qu’il s’adjoigne un bras droit. C’est chose faite avec Jean-Claude Philipot, déjà très actif au sein de notre équipe, qui accepte bien généreusement de prendre cette charge, sous le titre de ‘délégué national’.
Ainsi arrive du sang neuf, peu à peu les ‘‘anciens’’ et co-fondateurs transmettent le relais, tout en gardant certaines responsabilités et activités au sein de Civitas. C’est le cas de Dominique Chrissement, notre précédent Secrétaire général, qui prend la direction de la revue, quant à moi j’accepte bien volontiers de devenir Président d’honneur.
Vous savez qu’à la fondation de l’institut en 1999, les objectifs ont été volontairement limités au seul volet ‘‘formation’’. A partir de 2006, il a été décidé de passer à un cran supérieur, Civitas s’engageant dans au minimum une action nationale par an. Puis à partir de 2009, Civitas a encore plus nettement élargi son rayon d’influence au travers de plusieurs manifestations de grande ampleur, également par d’autres actions moins visibles mais en profondeur : lettre trimestrielle à tous les élus de France, démarches auprès de Parlementaires et d’élus locaux, interviews dans divers medias… tout ceci contribuant largement à faire entendre publiquement la voix catholique et à redonner une énergie nouvelle aux générations montantes dans un contexte de plus en plus difficile.
Je tiens à redire ma très grande reconnaissance à Alain Escada pour sa remarquable maîtrise des activités qu’il mène et pour son enthousiasme communicatif, également à ceux qui avec beaucoup de dévouement assument une charge bien précise dans Civitas. Il nous faut avancer, continuer à convaincre que l’enjeu du combat est de plus en plus grave, que nous avons tous à tenir un créneau, dans le cadre de nos devoirs envers notre Patrie, actuellement otage et prisonnière des forces anti-chrétiennes.
Que St Michel, St Louis et Ste Jeanne d’Arc, tous les grands Saints qui ont fait la France, nous donnent force et courage ! Hauts les cœurs !
01.34.11.16.94 - secretariat@civitas-institut.com
www.civitas-institut.com - www.francejeunessecivitas.com
M. Charles BERTHOLLET, maire de Rouvray (89)
M. Jean-Pierre BRANCOURT, Professeur émérite de l'Université François Rabelais de Tours
M. Aymeric CHAUPRADE, géopoliticien
Général (2S) Dominique CHRISSEMENT
Dr Jean-Pierre DICKES, Président de l’Association catholique des Infirmières et Médecins. Ecrivain et journaliste. Responsable d’oeuvres humanitaires
extrait libération 11 12 2011: les élections municipales de 2014. «Nous ne présenterons pas de listes sous l’étiquette Civitas, précise Alain Escada. Mais nous encourageons les catholiques à être candidats.» Plutôt dans les petites communes, là où les étiquettes politiques importent peu. La stratégie d’entrisme est clairement revendiquée. Pour mobiliser, Civitas a créé le «réseau Saint-Martin» et déjà organisé une réunion à Lambersart, près de Lille.
extrait site internet Civitas
Dominique CHRISSEMENT a présenté la création toute prochaine du réseau SAINT MARTIN qui a pour but d'être un lieu d'échanges ,de soutien, de formation et d'information; il se concrétisera par la création d'un blog dont l'accès sera réservé aux membres du réseau : cet outil correspond à un besoin et il permettra d'accompagner le développement de l'action municipale entreprise par les catholiques et tout ceux qui adhéreront à cette action.
extrait de l'internet Civitas
pour le triomphe du Christ Roi. Aujourd’hui, ils se préparent activement pour les élections municipales de 2014... C’est à cet humble niveau des communes que leur présence comme maires ou comme élus catholiques est la plus utile.. Ils s’enracinent dans un terroir, se font apprécier des habitants par une administration locale qui suscite la satisfaction des habitants... S’ils sont sages, ils demeurent assez éloignés des grandes querelles partisanes. On en voit ainsi certains, dans différentes communes,..plébiscités par les honnêtes gens qui saluent la qualité ..
Est-il de peu d’importance que l’administration des communes soit toujours laissée à ceux qui ne sont pas de vrais et fervents catholiques.. ou hostiles au règne de Notre Seigneur Jésus-Christ ?N’y a-t-il rien à faire ? Peut-on se contenter de seulement prier en laissant à Dieu le soin de nous sauver sans chercher à être les instruments dociles de son règne ? Qui ne voit l’absurdité de laisser ces places vides et de ne pas faire le bien que pourraient faire des catholiques qui les occuperaient?
Nous souhaitons donc qu’il puisse résulter des élections de 2014 la conquête de quelques dizaines de petites mairies par des maires et des élus vraiment catholiques et soucieux de l’extension du règne de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Une implantation nouvelle, puis un enracinement catholique dans nos villages, dans nos communes, s’ils existent de nouveau, pourront faire revivre un peu de vraie religion là où se trouveront ces élus et faire émerger comme une troisième force, celle qui seule est capable de s’opposer et à l’islamisation et à la déchéance révolutionnaire de notre pays.
Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas, a de grands projets pour cet organe de réflexion et de formation catholique. Attablés autour d’une bière belge sur la Grand-Place de Bruxelles – il est aussi le responsable de « Belgique et chrétienté » – nous lui avons demandé de parler d’une initiative qui déploiera ses ailes en France au mois de mai. Elle est à inscrire dans la volonté de refondation d’une droite nationale en déshérence qui a déjà donné lieu à plusieurs projets et regroupements
— Quel est donc l’objectif de votre projet ?
— Tout d’abord, remarquons qu’il n’y a rien à attendre de la politique si celle-ci n’est pas soumise à Dieu....
Ensuite, constatons, en France, au cours de ces dernières années, qu’une stratégie électorale axée sur les « grandes » élections – présidentielle, législatives – est vouée à l’échec, en tout cas dans l’immédiat.. Nous lançons un appel à la reconquête du pouvoir local. C’est à l‘échelon local qu’il nous faut commencer à œuvrer. En nous organisant de façon à influencer la vie culturelle, associative et politique des municipalités. Voilà un objectif qui, sans être démesuré, offre de nombreuses perspectives intéressantes, notamment dans les petites communes.
C’est alors dans la vie locale qu’il faut nous investir. C’est en y reconstruisant un tissu naturel favorisant le bien commun que nous rétablirons les bases nécessaires à la restauration d’une France catholique.
— Sera-ce donc une politique de lobbying, dont vous avez d’ailleurs vous-même l’expérience depuis plusieurs années dans « Belgique et chrétienté »?..
— Oui, en quelque sorte. Nous voulons faire connaître la doctrine sociale de l’Eglise...Nous avons la ferme intention d’offrir notre assistance aux acteurs municipaux. A ce lobbying pourront s’ajouter, au cas par cas, des candidatures issues de nos rangs. Mais notre objectif demeure la mise en place d’une structure sur tout le territoire qui permette véritablement de mener une action de terrain.
— Cela suppose un réseau important. En avez-vous les moyens ?
— Civitas ne se lance pas dans ce combat sans disposer des quelques atouts que nous avons estimés indispensables..Nous avons déjà consulté une centaine d’élus municipaux, et nous avons pu constater que nous répondons réellement à une demande de leur part. De notre côté, nous disposons déjà d’un grand nombre de personnes qui sont prêtes à s’engager, à donner de leur temps, à travailler pour ce grand objectif. Nous avons des professionnels de haut niveau, des personnes ayant une solide formation sur le plan de la doctrine sociale de l’Eglise, beaucoup de compétences qui sont prêtes à se déployer.
— Cependant, Civitas est connu comme étant proche de la Fraternité Saint-Pie X. Cela ne constituera-t-il pas un handicap ?
Dans cette action, nous ne visons nullement à mettre en avant la Fraternité Saint-Pie X, mais l’action individuelle, de personne à personne, auprès d’élus locaux. Notre expérience montre que des élus qui ne sont pas traditionalistes sont heureux de trouver auprès de nous quelqu’un pour les épauler sur le plan de l’action municipale.
Propos recueillis par Jeanne Smits et Olivier Figueras Article extrait du n° 6810 de Présent, du Samedi 28 mars 2009
abbé de Cacqueray (institut Civitas )
A l’initiative du Prieuré de Lanvallay et de l’institut Civitas une réunion se tiendra le lundi 19 octobre à 20 heures à la salle des fêtes de Lanvallay
pour lancer officiellement cette mobilisation et préciser les étapes de
cette démarche. Cette action doit aboutir à dissuader les maires de
lancer la procédure qui autoriserait les commerces de leur commune à
ouvrir le dimanche.
Interviendront à cette réunion :
– Monsieur l’abbé Barrère, responsable du Prieuré de Lanvallay : Tu respecteras le Jour du Seigneur
- Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas :
- Hervé de Cacqueray, paroissien du prieuré de Lanvallay : entreprendre des actions locales.
14:52 Publié dans Action municipales 2014, , action locale, civitas dinan
Une réunion s’est tenue dans la région de Dinan pour réfléchir à la façon dont Civitas devait mobiliser les fidèles de la Tradition aux municipales de 2014.
De ce week-end de réflexion, de travail, auquel plus d’une douzaine de personnes ont participé, quelques points clés sont apparus :
- Devenir conseiller municipal est une façon efficace d’exercer la charité au regard du plus grand nombre,
- Si tout le monde n’est pas apte à devenir conseiller municipal, tout le monde peut soutenir la campagne d’un bon candidat,
- L’engagement dans les conseils municipaux est une démarche permettant d’exercer une saine influence, mais elle ne prétend pas être suffisante pour refaire petit à petit une France chrétienne,
- La mobilisation des catholiques doit se faire en priorité dans les petites communes (jusqu’à 3 000 habitants) car il n’y a pas en général de listes bâties autour des partis politique
- Les catholiques de Tradition doivent être le levain de la pâte, mais notre démarche peut intéresser et motiver tous les catholiques dignes de ce nom
- La phase active de la campagne doit être précédée d’un travail visant à se faire connaître des habitants de sa commune, c’est une action qui doit démarrer dès à présent.
Beaucoup d’autres idées ont été brassées et nécessiteront réunions ou travaux par commissions, un argumentaire sortira sous peu qui explicitera les différentes facettes de cet engagement que Civitas veut susciter en 2014 parmi les catholiques.
Monsieur Crrissement est aussi visible sur France 3 pour Civitas Ouest dans une vidéo présentée sur ce blog
( interview au moment des manifestations TNB Rennes )
à l'article suivant et sous ce même thème "plan de sauvegarde"...des informations antifascistes ....et Civitas connu par un intervenant à la médiathèque
Sur ce blog et sous le thème "religion": "enquête" sur l'institut Civitas