8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:28

petit "historique" concernant le collège de Broons et la position des élus du pays de Plélan le petit

 

Article paru dans Ouest France le vendredi 30 avril 2010

En décembre 2009, le conseil général a voté son plan pluriannuel d’investissement pour les collèges (PPIC) avec un dossier de construction à Broons. Après les prises de position d’élus du secteur de recrutement du collège, notamment ceux de Caulnes et de Plélan-le-Petit qui voulaient aussi un collège, certains avaient l’impression d’un flottement. Le collège neuf serait-il construit à Broons ou bien y aurait-il aussi un collège à Caulnes et à Plélan-le-Petit ?

Apparemment le dossier est bien prévu à Broons. Comment pourrait-il en être autrement après un vote en séance plénière à l’assemblée départementale. Lors du conseil municipal de Trémeur, lundi, Soazic Boscher, conseillère municipale et CPE au collège Jean-Monnet, a présenté un rapide compte rendu du syndicat de gestion du collège qui a été choisi comme interlocuteur avec le conseil général. « Selon les informations qui nous arrivent, la construction du collège à Broons serait bien confirmée et il n’y aurait pas de collège à Caulnes ou à Plélan-le-Petit. Le conseil général attend maintenant que les maires concernés se mettent d’accord sur la répartition des frais qui ne sont pas pris en charge par le département », a indiqué Soazic Boscher.

Le maire de Broons, de son côté, attend toujours la réponse à sa demande de rendez-vous avec le président du conseil général.

 

Article paru dans Ouest France le vendredi 19 février 2010

Mercredi soir, le maire de Broons a abordé le projet de construction d’un collège voté par le conseil général en décembre dernier. Il a évoqué la position des élus des cantons de Caulnes et de Plélan-le-Petit qui souhaitent, chacun de leur côté, obtenir eux aussi un collège.

« Il n’est guère de semaine sans que ce sujet soit évoqué dans la presse alors, forcément, nous nous posons des questions », commente le maire de Broons. Avec ces prises de position des uns et des autres, les élus du canton de Broons ne savent plus très bien où en est le conseil général. Serge Rouxel a donc décidé de demander une audience au président de l’assemblée départementale.

Urgent de faire le point

Dans son courrier, signé par les huit autres maires du canton, Serge Rouxel rappelle les différentes étapes qui ont mené au projet, indiquant par ailleurs que c’est bien le conseil général qui a proposé une construction. Il rappelle aussi que le vote du projet « traduit l’aboutissement d’une année de discussions ». Il ajoute qu’aussitôt connue la proposition de construction, la commune de Broons s’est empressée de contacter des propriétaires pour l’achat des parcelles nécessaires et qu’un accord verbal a été rapidement obtenu. Une réunion de tous les élus concernés dans le secteur de recrutement du collège a eu lieu à Broons. Lors de cette rencontre, « le projet de construction ne suscitait aucune critique majeure », écrit encore le maire de Broons qui a du mal à saisir le revirement de ses collègues des cantons voisins. « Il me paraît donc souhaitable de faire le point sur le vote de l’assemblée départementale », conclut Serge Rouxel. La question que de nombreuses personnes se posent est en effet la suivante : le vote du PPIC (plan pluri annuel d’investissement pour les collèges), en assemblée plénière, est-il définitif, oui ou non ?

 

 

 

Nouveau collège : des avancées significatives - Broons

vendredi 10 juin 2011


Le maire Serge Rouxel a fait part, mercredi soir, aux conseillers municipaux, des dernières nouvelles du dossier de la construction du nouveau collège public.

Les discussions concernent uniquement le financement des aménagements extérieurs puisque la construction de l'établissement elle-même est prise en charge par le conseil général. Le but est de répartir ces frais d'aménagements extérieurs entre les communes qui ont des élèves au collège Jean-Monnet.

À la demande du maire de Broons, une réunion d'échanges s'est tenue mardi soir à Broons. Y participaient des élus des cantons de Broons, Caulnes, Plélan-le-Petit. D'autres communes qui ont aussi un nombre conséquent d'élèves inscrits y étaient : Brusvily, Languédias, Trébédan. Des élus et personnels du conseil général étaient présents.

Le conseil municipal de Broons avait déjà fait une proposition de répartition, qui s'inspirait de la demande de Gérard Bertrand, conseiller général de Caulnes.

La présence du collège étant un atout pour Broons, cette commune devait prendre une part plus importante au financement. La proposition donnait 30 % pour Broons, 14 % pour la communauté de communes du Pays de Du Guesclin. Le reste se répartissait entre les autres communes en fonction du nombre d'élèves inscrits. Cela faisait 69 % pour le canton de Broons.

Concours d'architectes

« Même si tout n'est pas réglé, durant cette réunion, il y a eu des avancées significatives. Ce qui est important, c'est que les représentants du conseil général sont repartis avec l'assurance qu'un accord serait trouvé. Le concours d'architectes peut donc être lancé », commente Serge Rouxel. Les communes extérieures vont déposer « dans les plus brefs délais une nouvelle proposition qui devrait augmenter la participation de Broons ».

La réforme des collectivités territoriales apporte deux nouveaux obstacles aux démarches. « Les syndicats de gestion des collèges sont amenés à disparaître, or nous l'avions choisi comme partenaire », indique le maire de Broons. Enfin, le financement croisé des collectivités risque de devenir impossible, c'est-à-dire que des communes ne pourront plus verser d'aides à d'autres communes ou communautés de communes. « Nous allons devoir trouver un autre montage financier et juridique. Mais il n'y a pas de raison que l'on n'y arrive pas », conclut Serge Rouxel.

 

Article paru dans Ouest France le lundi 7 juin 2010

Fin des interrogations : le nouveau collège public sera bien construit à Broons comme l’avait décidé le Conseil général. Serge Rouxel, maire de Broons et Annick Amice, conseillère générale du canton ont rencontré récemment Claudy Lebreton. « Il nous a indiqué officiellement que la nouvelle construction se ferait bien à Broons. C’est une très bonne nouvelle pour le canton. On ne peut que s’en réjouir », dit Annick Amice.

Personne ne doutait vraiment de cette issue puisque le PPIC (plan pluri annuel d’investissement pour les collèges) avait été voté en séance plénière en décembre dernier. On ne pouvait guère imaginer l’assemblée départementale revenant sur la délibération malgré la pression des élus des cantons voisins de Caulnes et Plélan-le-Petit. « Je me doutais bien que le collège serait construit ici mais je ne pouvais lancer aucune action sans en avoir la certitude absolue », précise Serge Rouxel.

Cette nouvelle ne règle pas tous les problèmes d’un seul coup. « Pour ce qui est des acquisitions foncières, on nous a conseillé d’attendre les premières esquisses du Conseil général. Ces esquisses nous donneront une idée plus précise des surfaces à acheter. Nous pourrons alors travailler avec les propriétaires qui ont déjà donné leur accord », poursuit le maire de Broons. Il reste aussi le problème de la répartition des frais annexes qui ne sont pas moindres puisqu’ils concernent les aménagements extérieurs non pris en charge par le Département : voies d’accès, parkings… Des rencontres et concertations vont sans doute se mettre en place dans les semaines à venir.

Enfin, la question de la démolition (ou déconstruction) n’est pas encore résolue. « C’est un sujet important et nouveau puisque c’est la première fois qu’un collège sera démoli dans le département », précise Annick Amice. Il était prévu que le Conseil général prenne cette partie en charge mais cela n’a pas été revu pour l’instant. « Je pense que nous réalisons largement notre part du contrat en achetant les terrains, en préparant les rencontres avec les élus du secteur. On ne peut guère nous en demander davantage », conclut Serge Rouxel.

Plélan-le-Petit - La commune voudrait construire son propre collège

À l’heure où le dossier de reconstruction du collège Jean-Monnet de Broons est au cœur des débats et que les estimations envisagent un doublement des effectifs, le maire Didier Miriel a informé le conseil d’une rencontre avec le président du conseil général auquel il a soumis une proposition de bâtir un collège sur le secteur de Plélan-le-Petit. Un courrier va être rédigé en ce sens au conseil général, pour solliciter un bâtiment qui accueillerait 300 à 400 élèves. Les élus ont donné leur appui au maire. Jusqu’à présent, les élèves du canton doivent se rendre à Broons, Plancoët, Créhen ou Dinan.

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:27
Une organisation à trois classes à l'école Sainte-Agnès - La Landec

mercredi 05 septembre 2012


Les 61 enfants de l'école Sainte-Agnès ont fait leur rentrée mardi aux côtés de Noémie Goinguenet, Virginie Breuillat et Jocelyne Guizouarn. Josiane Briand est l'Atsem de maternelle, également chargée de la cantine et garderie (absente sur la photo). Mardi matin, 61 enfants inscrits étaient présents à l'école privée Sainte-Agnès, soit seulement un de moins qu'à la précédente rentrée. L'école a perdu un demi-poste pour cette rentrée et retrouve une organisation à trois classes.

 

Une nouvelle directrice à l'école Saint-Pierre - Plélan-le-Petit

mercredi 05 septembre 2012


Une partie des enfants de la classe de CE1-CE2 de la nouvelle directrice Sophie Le Guillou. 20 garçons et seulement 6 filles sont scolarisés dans cette classe. L'école Saint-Pierre a obtenu un demi-poste supplémentaire pour cette rentrée scolaire qui s'est déroulée mardi matin. Avec désormais 7 postes, l'école accueille 179 enfants, mais 186 sont inscrits. C'est plus que l'an passé puisqu'à la rentrée, ils étaient 168.

 

À Montafilan, treize élèves imprévus ont été accueillis - Plélan-le-Petit

mercredi 05 septembre 2012


L'une des classes de moyennes et grandes sections, ici avec la directrice de la maternelle Marianne Le Vraux et Line Krumeich, Atsem. L'école compte 7 classes bien chargées. La rentrée scolaire a eu lieu mardi matin pour 195 enfants à l'école publique Montafilan. Treize nouveaux enfants inattendus de la communauté des gens du voyage ont également été accueillis, ce qui n'a pas été sans bouleverser l'organisation

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:21

  après fusion communautaire Plancoët/Plélan....

 

Le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) de Plélan-le-Petit, Vildé-Guingalan, Saint-Michel-de-Plélan a été créé après la fermeture d'une classe en 1993, à l'école publique de Vildé-Guingalan. Pour les effectifs, un arrangement provisoire avait été trouvé avec le RPI Plélan-le-Petit, Saint-Michel-de-Plélan, créé en 1989. Une convention a été signée en 1994 entre les trois communes pour mettre en oeuvre un regroupement concentré entre les trois écoles à la rentrée de 1994. En 1995, l'école de Saint-Michel-de-Plélan a été fermée, le RPI conservant deux écoles.

En raison de l'augmentation importante des effectifs au sein du RPI (332 élèves à la rentrée 2012) - répartis sur douze classes et avec une ouverture prévue en septembre à Vildé-Guingalan - il a été envisagé de réfléchir à l'avenir de ce dernier. Plusieurs réunions ont déjà eu lieu entre élus, avec les parents...

D'un commun accord, il a été décidé d'une scission du regroupement à la rentrée 2014

Une classe supplémentaire et la scission envisagée

samedi 23 février 2013


Sortie de classes, vendredi soir, pour les 191 élèves de l'école Montafilan.

Voilà déjà plusieurs années qu'a été mis en place le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) Plélan-Vildé-Saint-Michel. Le RPI compte deux sites : l'école Montafilan à Plélan-le-Petit et l'école 1-2-3 soleils à Vildé-Guingalan. Il y a actuellement 334 enfants scolarisés entre les deux écoles. Lors du conseil municipal de jeudi soir, le maire Didier Miriel a fait un rappel historique : « À l'époque, Plélan pouvait vivre seule avec Saint-Michel-de-Plélan, mais Vildé-Guingalan n'avait pas le nombre nécessaire d'élèves pour vivre dans de bonnes conditions. C'est ce qui a conduit au regroupement. »

À la rentrée prochaine, le RPI bénéficiera d'une ouverture de classe. Les maires ont été convoqués par l'inspecteur de circonscription. La demande d'ouverture portait sur le site de Plélan. Mais la réponse de l'inspection est tombée : l'ouverture aura lieu à Vildé-Guingalan.

« Je me réjouissais d'avoir une classe supplémentaire sur le RPI. C'est demandé depuis environ cinq ans, a déclaré Didier Miriel. Je suis un peu déçu que ça se fasse sur Vildé, mais on ne se battra pas pour un site. Au moins, les classes seront moins chargées et passeront à 24 à 25 élèves au lieu de 30. »

Mais il y a un autre problème avec la fusion intercommunale vers Plancoët. Plélan gérait entièrement le RPI et demandait à chaque commune une somme en fonction de son nombre d'élèves. La communauté de communes a maintenant pour compétences l'achat des fournitures, le financement des spectacles, des classes de voile... Il faut donc réfléchir sur l'avenir du RPI.

« La structure est lourde »

Selon Jean-Yves Juhel, le maire de Vildé-Guingalan, « s'il y a une séparation, il faut l'envisager dès la rentrée. Nous avons fait un tour de table au conseil d'école. L'ensemble des parents trouve le système lourd et veut une scission, mais pas en 2013. Il en est de même pour les instituteurs, qui trouvent, qu'avec 300 élèves, la structure est lourde. Un groupe de travail se réunira début avril pour discuter de l'éventuelle scission. »

L'adjoint aux finances Yvon Fairier ajoute : « Avec la nouvelle communauté de communes, j'aurais préféré que ça démarre en 2013 car des enfants de Plélan vont à Vildé et ne bénéficieront pas de subventions. » Pour Didier Miriel, « il faudrait peut-être trouver un accord avec l'intercommunalité pour que Plélan continue à gérer le RPI et demande les remboursements de factures à la communauté de communes pendant un an. »

Hervé Godard, de la minorité, interroge : « Où est l'intérêt de se séparer alors que la tendance est plutôt au rapprochement des structures ? » Et Didier Miriel de répondre : « Les familles disent qu'avec le car, les journées sont trop longues pour les enfants. Et pour les instituteurs qui travaillent sur deux sites différents, c'est difficile de se rencontrer. »

« Le conseil municipal aura à voter, mais c'est une volonté du conseil d'école », conclut le maire. À ce stade, les élus vildéens n'ont pas encore débattu sur le sujet.

 

 

 

Regroupement pédagogique intercommunal :

lundi 25 février 2013


Dans notre article samedi 23 février, consacré au regroupement pédagogique intercommunal, il est nécessaire de préciser que le maire de Vildé-Guingalan Jean-Yves Juhel n'était pas présent au conseil municipal. Les paroles qui ont été attribuées sont celles du maire, Didier Miriel. Il indiquait qu'après leur entrevue, son homologue préférerait envisager une séparation à la rentrée de 2013.

Les deux conseils municipaux auront à voter sur le sujet.

 

Le regroupement pédagogique sera dissous en 2014 - Vildé-Guingalan

mardi 28 mai 2013


L'école de Vildé pourra accueillir 150 élèves.

Jeudi soir, le conseil municipal a accepté, à l'unanimité, la scission du regroupement pédagogique (RPI) avec Plélan-le-Petit et Saint-Michel-de-Plélan à la fin de l'année scolaire 2013-2014. Le fonctionnement actuel du regroupement sera maintenu jusqu'à la fin de cette année scolaire.

Cette organisation en RPI était en place depuis vingt ans. C'est donc une page qui se tourne.

332 enfants à la rentrée 2012

Jean-Yves Juhel, le maire, a retracé l'historique du regroupement, intervenu « à la suite de la fermeture d'une classe à la rentrée scolaire 1993 à l'école publique de Vildé. Il avait été trouvé un arrangement provisoire d'effectifs avec le regroupement pédagogique intercommunal Plélan et Saint-Michel, créé en septembre 1989. » Le 29 juin 1994, « une convention simple a été signée entre les trois communes le pour la mise en oeuvre d'un regroupement concentré entre les trois écoles publiques à la rentrée 1994. »

L'augmentation importante des effectifs au sein du RPI a suscité une réflexion sur le devenir de cette entité. À la rentrée de septembre 2012, 332 élèves étaient inscrits, répartis en 12 classes. L'ouverture d'une 13 e classe est prévue à la rentrée scolaire 2013 à l'école 1,2,3 Soleil de Vildé.

La fusion avec la communauté de communes de Plancoët n'a pas simplifié les choses. La nouvelle communauté ayant la compétence scolaire et Vildé-Guingalan faisant partie d'une autre intercommunalité, la gestion se compliquait d'autant.

Le 16 avril, les élus des trois communes adhérentes au RPI, les directrices des trois écoles - une pour la maternelle et une pour le primaire à Plélan, une directrice à Vildé - des représentants des parents d'élèves, Pascale Guilcher, conseillère générale, et Mme Delagrée, déléguée départementale de l'Éducation nationale se sont à nouveau rencontrés.

Au terme de la réunion, un avis favorable au projet de scission a été émis.

 

  L'équipe enseignante au complet aux côtés du personnel communal qui intervient à la cantine, pour les TAP, la garderie, le ménage, les ATSEM, auxiliaires de vie scolaire (AVS) et emploi de vie scolaire (EVS).
Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:20

 

École Le blé en herbe : les parents mécontents
jeudi 15 décembre 2011
16 parents se sont réunis mardi soir, dans la classe de cycle 3, qui compte 26 élèves.

Seize parents d'élèves se sont retrouvés à l'école Le blé en herbe, mardi soir, car ils ne sont pas satisfaits de la situation actuelle dans la classe à trois niveaux de cycle 3 (CE2, CM1, CM2), qui compte 26 élèves. Ils regrettent un manque de suivi des enfants.

L'enseignante titulaire, Manuela Arnaud, a renouvelé à mi-temps son congé parental. Elle enseigne dans la classe uniquement le lundi et mardi. Une autre enseignante a été nommée à l'année, pour intervenir le jeudi et vendredi. Mais elle a dû être remplacée à plusieurs reprises.

Les parents regrettent ces passages successifs de remplaçants qui n'ont, selon eux, pas le temps de faire connaissance avec la classe. Ils estiment que non seulement leurs enfants sont pénalisés dans leurs apprentissages, mais que c'est l'école tout entière qui est pénalisée. Car l'établissement compte 78 élèves, et « quand il n'y a pas eu de remplaçant, les élèves ont été répartis dans les deux autres classes, sans proposition de programme pédagogique [...] Les séances de piscine du jeudi n'ont pu toutes avoir lieu ».

Les parents estiment « que le service public n'est pas rendu ». Plusieurs courriers ont été envoyés à l'inspection académique (dont un du maire). Sans que cela provoque d'avancée concrète à leurs yeux. Ils s'inquiètent déjà pour la rentrée de janvier et réclament davantage de stabilité.

 

octobre 2014

Mardi soir, se tenait l'assemblée générale de l'amicale laïque.

À l'ordre du jour notamment, le renouvellement du bureau. Peu de parents ont fait le déplacement pour cette réunion.

L'ensemble du bureau a fait part de sa démission pour raisons personnelles et professionnelles. Un appel a été lancé au cours de la réunion aux parents présents. Personne ne s'est porté volontaire pour prendre la suite. Un appel est désormais lancé à tous les parents pour début novembre, après les vacances de la Toussaint.

Les parents seront à nouveau invités à une deuxième assemblée pour former un bureau.

« Les membres démissionnaires du bureau resteront en soutien pour aider les nouveaux parents d'élèves et resteront actifs au sein de l'amicale. Nous insistons sur le fait que nous passons le relais, précise Laëtitia Adam, qui était présidente. Si personne ne reprend le flambeau, l'association sera mise en sommeil. »

Cela signifie qu'il n'y aura plus de festivités (arbre de Noël, chasse aux oeufs, kermesse...).

La participation de l'association s'élève à 70 € par année scolaire, par enfant, pour financer les transports vers le cinéma, la piscine, les sorties scolaires, les jeux de cour... Sans amicale il n'y aura plus ces activités ou alors les parents devront les financer directement.

Les personnes intéressées peuvent contacter avec les anciens membres du bureau, l'équipe enseignante ou la mairie.

Il serait dommage qu'avec une école flambant neuve et près de 70 élèves, il n'y ait plus d'amicale laïque.

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:19
École publique : les charges actualisées - Plélan-le-Petit
jeudi 08 mars 2012

La commune accorde chaque année un crédit de fonctionnement (petites fournitures et matériels) à l'école publique Montafilan. Le montant a été actualisé par les élus en passant de 45,30 € en 2011 à 46,02 € pour 2012. La commune règle la participation pour les 334 élèves du regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Le conseil municipal sollicite le remboursement par la commune de Vildé-Guingalan de la moitié des sommes réglées au titre du fonctionnement, soit 81,59 € qui incluent les 46,02 € de frais de petites fournitures et matériels. 141 enfants sont scolarisés à Vildé-Guingalan.

Pour les communes qui n'ont pas d'école publique et dont les enfants sont scolarisés sur le RPI, un montant de 533,50 € sera demandé par élève aux communes de Saint-Maudez, Saint-Michel-de-Plélan, Saint-Méloir-des-Bois et La Landec, pour les frais de fonctionnement.

 

Les charges de fonctionnement du regroupement pédagogique - Vildé-Guingalan
samedi 17 mars 2012

Le crédit de fonctionnement dû par la commune dans le cadre de la répartition des charges de fonctionnement du regroupement pédagogique intercommunal avec Plélan-le-Petit qui avait été fixé à 80,31 € pour l'année scolaire 2010-2011, a été réactualisé de 1,60 %. Et de rappeler qu'une convention, signée en 2006, stipulait que la commune remboursait la moitié de l'ensemble des sommes réglées par Plélan. Les élus ont voté pour que ce crédit soit réparti de la façon suivante : 46,02 € pour les « fournitures scolaires et matériels divers » et 35,57 € pour les autres dépenses de fonctionnement.

Par ailleurs, l'assemblée a voté pour l'actualisation des charges de fonctionnement dues par les communes extérieures (Saint-Michel-de-Plélan, Saint-Maudez, La Landec et Saint-Méloir-des-Bois) qui n'ont pas d'école publique. 533,50 € par enfant domicilié dans ces communes seront demandés.

 

1,60 % de revalorisation pour le contrat d'association - Plélan-le-Petit
mercredi 07 mars 2012

L'actualisation du contrat d'association de l'école Saint-Pierre a été adoptée pour 2012 par les élus. L'augmentation sera de 1,60 % par rapport à 2011, portant la participation de la commune de 553 à 561 € par enfant. 103 enfants de la commune sont scolarisés à l'école (contre 97 en 2011)

Le montant global à verser à l'école s'élève à 57 876 € (augmentation de 4 229 € par rapport à 2011).

 

Saint-Méloir-des-Bois   subvention à l'école St Pierre
jeudi 05 avril 2012

Le conseil a accordé 4 subventions :

3 734,50 € à l'OGEC (gestion de l'école privée) de Plélan-le-Petit. À noter que le calcul de cette dernière subvention est relative à la participation allouée par enfant aux écoles publiques de Plélan-le-Petit, soit 553,50 € par enfant (7 petits Méloriens sont scolarisés à l'école Saint-Pierre).

300 € au Centre communal d'action sociale
sur le 2 dernières informations:
Le collectif interroge sur le montant versé par St Méloir à l'école privée de Plélan: cette subvention est relative "aux écoles publiques" de Plélan ( 553,50e par enfant) alors que pour la part de Plélan à l'école privée il est question de 561e par enfant.
Pourquoi St Méloir évoque le "tarif " du public pour donner au privé de Plélan, au lieu de considérer directement le "tarif " du privé que Plélan vient d'ajuster à 561e il y a un mois?
Transport scolaire vers Bourseul : pas de subvention - Saint-Méloir-des-Bois
mercredi 07 septembre 2011

Depuis plusieurs années, le transport scolaire des enfants de Saint-Méloir-des-Bois vers l'école primaire publique de Bourseul s'effectuait sans contrepartie financière ; ce service avait été mis en place par la commune de Bourseul lors de la fermeture de l'école de Saint-Méen. Aujourd'hui, la commune de Bourseul souhaite établir un service de transport scolaire en collaboration avec le conseil général des Côtes-d'Armor ; pour ce faire, il est demandé à la commune une subvention de 100 € par enfant. Considérant que le transport des 17 enfants de Saint-Méloir-des-Bois qui fréquentent les écoles primaires de Plélan-le-Petit (publique et privée) est entièrement à la charge de leurs familles, le conseil municipal, unanime, refuse le versement d'une subvention pour le transport scolaire des enfants vers Bourseul.

 

 

Pas de subventions pour les séjours du second degré - Plélan-le-Petit
lundi 14 novembre 2011

Des demandes de subventions ont été reçues en mairie du collège Notre-Dame de Broons pour des séjours à la neige et en Angleterre d'élèves de 6 e et 3 e . Le maire a rappelé qu'il avait déjà été décidé de ne pas attribuer de subventions communales pour les voyages scolaires des collégiens et lycéens. Une réponse écrite sera adressée au collège. Un pouvoir de répondre automatiquement à toute demande de subvention émanant de collège ou lycée est également prévu dans la délibération.

 

 

Collège de Broons : non au financement - Plélan-le-Petit

lundi 19 septembre 2011


Le conseil municipal est unanime. Les élus disent non à la demande de financement des aménagements extérieurs du futur collège public de Broons. L'enveloppe prévisionnelle totale est de 700 000 € HT. La participation des communes (hors Broons) serait de 1 022 € par élève scolarisé et pourrait être minorée si le coût des travaux était moins élevé. En ce qui concerne la commune, depuis 2005, le nombre moyen d'élèves de la commune fréquentant le collège Jean-Monnet est de quatre. Et quatre types de financements ont été présentés : de 2 918 € à 6 009 € pour la commune.

« Non ! Je ne financerai pas les abords du collège de Broons. C'est un sacré avantage d'avoir un nouveau collège dans sa commune » (NDLR : il y a peu de temps, le conseil avait sollicité le conseil général pour accueillir un collège dans la commune ; demande refusée). Pour Pierrick Sorgniard, « les retombées économiques sont pour Broons ». « Ils ont droit d'essayer », poursuit Hervé Godard. Refus unanime sur cette demande de financement.

 

 

Languédias: la commune adhère au syndicat du collège

Lors du conseil municipal, les élus ont décidé à l'unanimité d'adhérer au nouveau syndicat du collège Jean-Monnet de Broons.(décembre 2013)

La commune attribue 30 € pour des séjours scolaires - Saint-Maudez
samedi 24 mars 2012

Le conseil a décidé d'attribuer une subvention de 30 € pour un élève scolarisé à l'école Sainte-Agnès de La Landec, à l'occasion d'un voyage de deux jours à Jersey et Saint-Malo, en mai prochain. L'école réclamait la totalité du montant du séjour, soit 117,82 €. Mais le conseil a depuis plusieurs années, pris la décision d'accorder une somme de 30 € une seule fois dans la scolarité des enfants, lorsqu'il y a une demande.

 

Les élus ont voté les subventions communales - Saint-Michel-de-Plélan

mardi 28 juin 2011


Les écoles

8 926,70 € seront versés pour l'école publique Montafilan de Plélan-le-Petit (17 enfants), 2 625,50 € pour l'école Saint-Pierre de Plélan-le-Petit (5 enfants) dont le montant par enfant est aligné sur celui de l'école Montafilan à la demande de plusieurs élus et pour plus d'équité. L'école de Bourseul recevra 3 150,60 € pour 6 enfants scolarisés. Pour les voyages scolaires, chaque enfant peut bénéficier une fois dans sa scolarité d'un montant de 35 € (2 enfants sont concernés cette année).

 

Deux subventions pour un voyage scolaire - Saint-Michel-de-Plélan
lundi 03 décembre 2012

L'école Saint-Pierre de Plélan-le-Petit a fait parvenir un courrier en mairie, pour une demande de subventions pour un séjour à la neige. La demande concerne trois enfants de la commune scolarisés dans cette école. Le principe du conseil municipal est d'attribuer une subvention de 31 € par enfant, une fois dans sa scolarité.

Sur les trois enfants concernés, un a déjà bénéficié de cette subvention antérieurement. Les deux autres recevront la subvention qui sera versée directement aux familles.

 

Pas de subventions pour les séjours scolaires - La Landec
mercredi 28 novembre 2012

Des demandes de subventions ont été reçues en mairie du collège Notre-Dame de Broons, pour des élèves qui doivent participer à des séjours linguistiques et classe de neige. Deux élèves de la commune sont concernés par un voyage en Allemagne (4e et 3e), cinq élèves pour un voyage en Espagne (4 e ) et trois de 6 e pour un séjour neige. Le conseil a refusé d'attribuer des subventions car il ne le fait pas habituellement.

 

Trente et un enfants subventionnés pour le séjour neige - Plélan-le-Petit
samedi 15 décembre 2012

L'école Saint-Pierre sollicite une subvention pour 31 élèves de CM1/CM2 domiciliés dans la commune pour une classe de neige qui aura lieu du 10 au 15 janvier à la Bourboule en Auvergne. Au vu du principe retenu par le conseil municipal qui subventionne un niveau par année scolaire, il est proposé de verser la subvention sollicitée pour les deux niveaux en 2013. Elle couvrira les années 2012-2013 et 2013-2014. Un montant de 30 € est alloué par enfant qui participera (soit 930 €), une subvention identique ayant été attribuée pour 17 élèves de l'école publique Montafilan pour une classe.

 

Au 1er janvier 2015, la communauté de communes Plancoët/Plélan ne financera plus le syndicat de transport scolaire du collège Chateaubriand de Plancoët, estimant que cela est du ressort du conseil général. Les communes adhérentes ont à se prononcer sur leur renouvellement d'adhésion.

En ce qui concerne la commune de La Landec, les élus ont validé le retrait du syndicat

 

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:18

le collectif:

Nous pensons que les activités complémentaires doivent être conçues avec un soin particulier apporté à leur qualité, ce qui implique une grande attention portée à la formation des animateurs concernés. Ceux-ci doivent concevoir leur pratique professionnelle en lien avec celle des enseignants, et dans une articulation intelligente des temps, des contenus et des lieux réservés à chaque activité.

Nous sommes contre la précarité de l'emploi et le bénévolat de personnes non qualifiés pour l'animation et l'encadrement des enfants...allons nous demander aux anciens de confectionner des paniers d'osiers avec les enfants, aux responsable du club de randonnée d'organiser des promenades etc...et des grands parents, des parents ou des "grands frères"  d'organiser des chasses aux trésors???

 

La Landec

 

janvier 2013


Le maire a fait part d'une réunion sur le projet de réforme des rythmes scolaires de l'école primaire, à laquelle il a assisté récemment et en a rendu compte au conseil municipal.

La commune a une école privée qui compte 65 élèves. « C'est compliqué. Les journées sont trop longues pour les enfants et il y a une pénibilité pour le personnel enseignant. La réforme prévoit le raccourcissement des journées d'enseignement et le développement de projets territoriaux. Actuellement, il y a 114 jours d'école par année scolaire, cela passerait à 180 jours. »

Les journées seront au maximum de 5,5 heures et au minimum de 3,5 heures avec une pause minimum de 1,5 h le midi. « Les municipalités devront mettre en place des activités périscolaires, entre 13 h 30 et 14 h 15 ou de 15 h 45 à 16 h 30. »

L'encadrement périscolaire est prévu d'être rallongé à une personne pour 18 enfants en élémentaire (contre 14 actuellement) et une personne pour 14 en maternelle au lieu d'une pour 10. « Pour commencer à la rentrée de 2013, les demandes de subventions sont à effectuer avant fin janvier et les demandes en mars. Il y a 407 écoles dans le département. »

L'objectif est de mieux apprendre et favoriser la réussite scolaire pour tous. Au niveau du soutien scolaire, chaque enseignant assurera 36 heures par an, en groupe restreint. Selon le maire, « Pour 17 communes de l'intercommunalité Plancoët-Plélan, l'application de la réforme pourrait se faire à la rentrée de 2014 et en 2013 pour Plancoët. »

 

Juillet 2013

Mardi soir, il y avait une réunion de conseil, à la mairie. Application des rythmes scolaires. Alain Besnard, maire et deux conseillères municipales ont assisté à une réunion concernant la mise en place des nouveaux rythmes scolaires. Il faut savoir qu'il faut un animateur pour huit enfants de moins de 12 ans. Concernant les locaux de mise à disposition, il n'y a pas de souci dans la commune. Il y a les locaux de l'école, la salle polyvalente, la salle multifonctions, la plateforme multisports et le terrain de football. Pour Alain Besnard, maire, « Cela est très compliqué à mettre en place, c'est une usine à gaz. » Le maire a fait savoir que les écoles privées n'étaient pas obligées d'y adhérer, mais c'est fortement conseillé. « On n'est pas obligé de dire oui à tout », ont nuancé certains conseillers. Le maire a proposé à l'ensemble des élus de ne pas prendre de décision pour le moment et d'organiser une rencontre avec les premières personnes concernées qui sont les institutrices, les bureaux de l'école et les parents. Sécurité routière. Depuis un mois, ont été posées des chicanes au niveau de l'école pour essayer de réduire la vitesse des véhicules. Les parents faisant partie du conseil ont dit que cela ne changeait rien. S'il n'y a pas de voiture en face, l'autre véhicule ne ralentit pas. M. Pansart, du conseil général, va faire parvenir un devis concernant deux plateaux de ralentissement (coussin berlinois) qui oblige une voiture à passer deux roues sur le ralentisseur. Syndicat de la salle omnisports. Le syndicat est en voie de création. La semaine dernière, les maires de l'ex-communauté de communes se sont réunis. En fonction de son nombre d'habitants, chaque commune paiera une cotisation forfaitaire. Les dépenses d'investissement seront basées sur le même calcul. Alain Besnard, maire, a parlé du cas particulier qui est Vildé-Guingalan. La commune fait partie de la Codi, mais les 160 enfants de l'école fréquentent la salle omnisports. Selon lui, elle n'a rien payé depuis quinze ans. Il serait normal qu'elle rentre dans le syndicat. Une concertation est prévue avec le maire, Jean-Yves Juhel. Accessibilité des locaux. Un diagnostic doit être établi pour début 2015. Il y a seulement deux bâtiments concernés : l'église avec une marche, le système est prévu mais reste à le fixer et l'accessibilité de l'estrade à la salle multifonctions pour les personnes à mobilité réduite. 

 

novembre 2013

La réforme des rythmes scolaire soulève les débats. Gisèle Campion a relaté la réunion de coordination intercommunale qui a eu lieu lundi dernier. Un état des lieux de ce qui est fait et de ce qui se fait dans chaque commune a été fait. « Cela pose beaucoup de problèmes dans les communes qui ont des écoles ».

Il va en effet falloir trouver des activités, recruter du personnel. Un questionnaire a déjà été envoyé aux familles landecoises ayant des enfants scolarisés à l'école. L'école étant privée, il n'y a pas d'obligation de mettre en place la réforme des rythmes scolaires.

Une réunion aura lieu prochainement avec les élus et la directrice, pour voir ce qui peut être fait sur la commune. Selon le maire, Alain Besnard, l'idée serait de se mettre en accord avec l'école Saint-Pierre de Plélan-le-Petit, à propos de la décision qui sera choisie.

 

septembre 2014

En ce qui concerne l'organisation des cours, l'école n'a pas souhaité mettre en place les Temps d'activités périscolaires (Tap), en accord avec la mairie.

Les cours ont donc lieu le lundi, mardi, jeudi et vendredi. Étant une école privée, il n'y avait pas d'obligation de mettre en place les Tap.

 

 

TREBEDAN


Novembre 2013

Le comité de pilotage s'est réuni pour étudier les questionnaires adressés aux familles sur les rythmes scolaires. Trois propositions d'organisation avaient été faites. Celle qui a été retenue est deux après-midi d'activités périscolaires (2X 1 h 30) sur deux jours.

Pour la prise des repas et l'accueil le mercredi, les résultats des questionnaires remis aux familles font ressortir qu'elles souhaitent qu'il y ait un repas et un accueil l'après-midi. Ce qui représente environ 23 à 25 enfants.

Ce sujet a été évoqué en bureau communautaire. Il ressort que le CLSH (centre de loisirs sans hébergement) ne peut démultiplier ses sites sur les différentes communes. Il n'est pas possible d'ouvrir une annexe à Trébédan.

Cette réforme nécessitera l'embauche de trois encadrants. Il n'y aura pas de repas à la cantine de l'école le blé en herbe, le mercredi. La commune demandera donc un transport collectif des enfants de l'école vers le CLSH. Le maire a ajouté qu'« il faudra prévoir aussi une surveillance des enfants entre 12 h et 12 h 15, le mercredi. »

 

 

L'an prochain, les nouveaux rythmes scolaires seront mis en place, un comité de pilotage y travaille activement. Le conseil municipal a retenu une organisation d'activités périscolaires sur deux jours, le lundi et le jeudi, de 15 h à 16 h 30.

« L'embauche d'animateurs sera nécessaire. Si vous connaissez des personnes... Nous faisons aussi un appel ponctuel aux bénévoles qui ont des savoir-faire ou compétences. »

Lorsque l'école sera achevée, un relais médiathèque sera ouvert dans l'enceinte même de l'école. Les enfants pourront facilement y aller et des permanences devront être organisées après la classe pour la population. Là encore, il faudra une équipe de bénévoles.

 

mai 2014

Le maire, Didier Ibagne, a abordé la réforme des rythmes scolaires.

« Le comité de pilotage travaille le projet éducatif territorial sur la base d'une mouture réalisée par une maman d'élève. C'est bien avancé. Nous avons discuté de la modification de l'organisation de la semaine car le ministre de l'éducation a proposé d'expérimenter sur trois ans dans les petites communes des concentrations de temps d'animation sur une demi-journée plutôt que sur plusieurs fois par semaine. Les avis étaient partagés ».

La commune dispose de suffisamment de locaux pour mettre en place la réforme des rythmes scolaires (cinq locaux).

Au niveau du personnel, deux employées sont titulaires du Bafa et il sera nécessaire de recruter trois autres personnes ayant le Bafa ou le CAP petite enfance.

Une aide de l'État est prévue pendant deux ans, pour chaque élève. Le conseil après en avoir discuté, a décidé de laisser les temps d'animation sur le mardi et le jeudi, de 15 h à 16 h 30, dans l'intérêt de l'enfant.

Les temps d'animation seront répartis sur cinq périodes dans l'année, auxquelles les enfants devront être préalablement inscrits pour y participer. Une réunion du comité de pilotage reste à venir avant de rendre le PEDT, pour le 13 juin.

septembre 2014

La municipalité a mis en place les nouveaux rythmes scolaires avec l'organisation des Taps (temps d'activités périscolaires) les mardis et jeudis, de 15h à 16h30. Ils seront encadrés par du personnel communal, des parents d'élèves et des bénévoles interviendront également. Pour le moment des balades, jeux de société, activités théâtre, sports et fabrication d'herbiers sont prévues.

nb le collectif Ces personnes sont titulaires d'un diplôme (bafa ou autre)?

Plélan-le-Petit

samedi 02 février 2013


Au vu de plusieurs réunions organisées avec différentes instances concernant la réforme des temps scolaires, la lecture du courrier du ministre, Vincent Peillon, et la présentation des comptes rendus et discussion, le conseil municipal a décidé de ne pas entrer dans la modification des rythmes scolaires en 2013, mais en 2014. Le maire a, par ailleurs, informé avoir contacté son homologue, Jean-Yves Juhel, de Vildé-Guingalan, avec qui la commune est en regroupement pédagogique intercommunal. Ce dernier lui a déclaré ne pas être favorable à l'application de la réforme en 2013.

 

juillet 2014

Dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires, la commune vient de recruter deux nouveaux agents. Un poste d'adjoint technique deuxième classe pour une durée d'un an (emploi contractuel) a été attribué à Marie-Thérèse Gicquel.

Elle a déjà fait un remplacement qui a donné entière satisfaction. Son contrat, à temps partiel, débutera le 1er septembre et se terminera le 31 août 2015. Elle est titulaire du Bafa et très polyvalente. Elle pourra aussi être amenée à apporter une aide au secrétariat et au ménage des locaux communaux.

Les autres candidatures étudiées n'avaient pas toutes ces compétences. Marie-Thérèse Gicquel va bénéficier de deux autres contrats, à temps partiel, dans une autre école et dans un centre de loisirs, elle bénéficiera ainsi d'un temps plein entre ses trois postes.

Un deuxième agent est recruté en emploi d'avenir pour trois ans, à la cantine. C'est à la suite d'un contact avec la Mission locale que la démarche avait été envisagée car le poste de cantinière, outre la préparation des repas, a beaucoup évolué (gestion des stocks, régie, suivi qualité, suivi des bonnes pratiques...). Une des cantinières partira à la retraite dans quelques années et un service de cantine sera assuré, le mercredi, dès la rentrée.

La Mission locale avait proposé deux candidatures, mais les élus avaient décidé d'attendre 2015 pour un recrutement. Or, fin juin, une des agents de la cantine a eu un infarctus et a été opérée. Les élus ont alors revu leur position et proposé, pendant quelques jours, à Lélaëlle Perucha, d'effectuer un stage à la cantine.

Cette jeune fille de 20 ans qui a déjà de l'expérience, a montré une grande motivation et vient d'obtenir son CAP cuisine. Le conseil a décidé de la recruter à partir du 1er septembre 2014, pour trois ans. Une bonne opération pour la commune avec la prise en charge de l'État, le coût de revient mensuel est de 550 € charges comprises.

septembre 2014

Dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires, les Taps (temps d'activités périscolaires) sont mis en place le lundi et vendredi de 15 h à 16 h 30.

La commune a recruté deux personnes et formé au total 9 agents communaux pour encadrer les Taps et en fonction de la participation des enfants, il y a encore une réserve d'agents si nécessaire. Nathalie Basset est la responsable des Taps.

 

école St Pierre 

L'école étant privée, n'avait pas obligation de passer aux Taps (temps d'activités périscolaires) et financièrement pas les moyens de le faire. La classe reste donc à 4 jours le lundi, mardi, jeudi et vendredi, de 8 h 45 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 30.

 

Cent soixante enfants fréquentent les activités périscolaires

Depuis la rentrée, 160 des 184 enfants de l'école publique Montafilan fréquentent les temps d'activité périscolaire (Tap).

Les enfants bénéficient ainsi d'1 h 30 d'activités gratuites, le lundi et le vendredi après-midi. Pour la première période, qui s'étend jusqu'à la Toussaint (cinq périodes sur l'année scolaire), il a été demandé aux enfants de choisir entre théâtre, randonnée, travaux manuels, jardin, jeux libres, bibliothèque, ateliers alimentation et jeux d'extérieur. Vendredi, lors de la première journée des Tap, les élèves ont fait leur choix définitif pour cette période.

En ce qui concerne les enfants de maternelle, leur sieste de l'après-midi n'est pas perturbée, chacun se réveille à son rythme. Neuf animateurs, diplômés du Bafa, BAFD ou CAP petite enfance, encadrent les Tap, ainsi que quatre bénévoles. Si les effectifs progressent, les emplois de vie scolaire (EVS) et les auxiliaires de vie scolaire (AVS) de l'école qui ont répondu favorablement pour les Tap pourront apporter leur aide.

« Tout est prêt jusqu'à la Toussaint et nous avons déjà des idées pour la suite, indique Nathalie Basset, la coordinatrice des Tap. Durant l'été, des jeux, des fournitures, un lecteur de musique et un appareil photo ont été spécialement achetés. » Côté travaux, un aménagement du local de stockage a été réalisé par un des employés communaux.

Les enfants qui souhaiteraient participer aux Tap peuvent toujours s'inscrire auprès de Nathalie Basset.

 

 

LANGUEDIAS

Dans le cadre de la mise en place des rythmes scolaires pour la rentrée, des temps d'activités périscolaires (Tap) auront lieu le mardi et vendredi après-midi, durant une heure et demie.

Pour faire face aux besoins de personnel pour encadrer les Tap de trois groupes d'enfants, le conseil a décidé de confier 54 heures à la cantinière, Sonia Boissière, le vendredi ; de recruter Micheline Dubois, en contrat à durée déterminée d'un an, pour 108 heures (intervention le mardi et vendredi) ; et de bénéficier de l'intervention de l'OISCL de Broons, notamment avec Maëlle, pour 108 heures.

 

Une garderie le mercredi pour les écoles privées

À défaut de centre de loisirs intercommunal le mercredi matin, les écoles privées de La Landec et Plélan-le-Petit, en appui avec les communes, ont décidé de mettre en place un service de garderie. Les deux écoles maintiennent la semaine d'école à quatre jours.

Le service est proposé de 9 h à 12 h, pour 6 € par enfant. Pour cela, la commune de La Landec va recruter un agent en contrat annualisé à compter du 10 septembre, jusque juin 2015, à raison de trois heures par mercredi.

Une convention sera signée avec l'Organisme de gestion de l'enseignement catholique (Ogec) de Plélan-le-Petit pour la participation financière.

L'intendance sera assurée par le secrétariat de La Landec. La commune mettra également du personnel communal à disposition si besoin, puisqu'il faut deux personnes au-delà de six enfants en garderie.

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:17

Avril 2014

Non, l'école ne quittera pas le regroupement pédagogique qui existe avec Mégrit et Trédias depuis 1983. Les rumeurs vont bon train et les élus ont souhaité les faire taire. La semaine dernière, une réunion a eu lieu avec les nouveaux maires de Mégrit et Trédias.

Le RPI compte 120 enfants. Dans le cadre des nouveaux rythmes scolaires, qui seront mis en place en septembre, les enfants de l'école de Languédias bénéficieront d'activités périscolaires le mardi et vendredi de 15 h à 16 h 30, avec, si possible, des activités d'été et d'hiver. La commission école organisera une réunion le 13 mai pour le groupe de travail sur les rythmes scolaires afin de poursuivre sur le Projet éducatif territorial qui doit être établi pour le 24 juin.

Le maire, Jérémy Dauphin, souhaite qu'une réflexion soit menée sur le stade de football qui ne sert pas et émet l'idée de le couper en deux, notamment pour y pratiquer des activités périscolaires.

Il voudrait aussi que l'entrée de l'école soit modifiée et se fasse par le stade. « On abaisserait le mur d'enceinte pour une mise en valeur de l'école en pierre. La sécurité serait assurée pour tout le monde, les cars pourraient manoeuvrer. Il reste quelques souches à enlever près du stade. Si ça pouvait se faire cette année pour la rentrée de septembre. L'idée est d'impliquer les enfants et les enseignants. »

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans SCOLAIRE
2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 07:59
Le comité d'entraide ne sait pas encore s'il fusionnera
 

Le comité cantonal d'entraide (CCE) était réuni en assemblée générale, jeudi soir, afin de présenter le rapport d'activité et les comptes de 2013. Un nouveau bureau a également été élu. Côté élus représentants de comité cantonal d'action sociale (CCAS), de nouveaux membres ont intégré le comité après les élections municipales.

Le service prestataire a effectué 22 991 heures auprès de 218 personnes sur dix communes. Cela représente 12,45 équivalents temps pleins, d'aides à domicile et 3,70 équivalents temps pleins, d'auxiliaires de vie sociales. 21 109 interventions ont été réalisées dans l'année dont 15 091 avec un temps supérieur à 30 minutes auprès des personnes. Les déplacements ont représenté 940 heures, les usagers étant en secteur rural.

Le service mandataire (la personne est employeur le comité réalise la partie administrative) a réalisé 2 460 heures auprès de 15 personnes, soit 1,35 équivalent temps plein.

1800 heures de moins en 2013

Le service de portage des repas a servi 55 bénéficiaires (7 099 repas). Six aides à domicile ont livré les repas sur l'année, soit 0,66 temps plein. Cette activité se porte bien et il y a de nouvelles demandes. Actuellement, 28 à 29 repas sont livrés par jour. Enfin côté téléalarme, 40 personnes en ont bénéficié.

1 800 heures de moins ont été réalisées en 2013, par rapport à 2012. C'est ce qui génère un déficit de 24 700 €. « On avait demandé le financement d'un demi-poste pour la gestion des plannings, mais ça a été refusé. Avec le demi-poste, on n'aurait pas eu de déficit, a commenté le président, Alain Besnard. On avait prévu de s'associer avec une autre structure, mais je ne sais pas quand, ni où. On avait prévu au départ avec Plancoët qui a un CIAS (centre intercommunal d'action sociale), mais on parle de rapprochement intercommunal avec Matignon. Le territoire est en plein mouvement. Qu'est-ce qu'on va devenir ? Si on fusionnait avec Plancoët, il y aurait un problème, car Vildé-Guingalan est à la Codi (communauté de commune de Dinan). Il n'y a rien de fait. Le personnel peut se poser des questions. Le mieux serait de rester structure associative ».

Le président se veut également rassurant sur le déficit « car l'association dispose d'un matelas confortable ».

Le bureau

Alain Besnard, président; Michel Gesbert et Michel Josse, vice-présidents; Robert Leffray, trésorier; Thérèse Lefort, trésorière-adjointe; Francine Rouillé, secrétaire et Annick Raffray, secrétaire-adjointe
  •   L'assemblée générale suivie par le personnel, les élus représentants de CCAS, et les représentants de clubs du 3e âge. 
Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans LE COLLECTIF
5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 14:34

2010/2015....jusqu'à la fermeture?

La présence d'amiante gêne l'avancée des travaux de la gendarmerie

Faits de société mercredi 27 octobre 2010

«On ne peut pas aller plus loin sans désamianter». Pour Michel Lemétayer, adjoint communautaire en charge du dossier de la gendarmerie, les travaux sont au ralenti. En cause, la présence d'amiante dans les dalles, colles et ragréages. Quatre entreprises vont être consultées pour s'en occuper. Le coût est estimé entre 8 000 € et 10 000 € pour la commune


Les élus communautaires ont visité la gendarmerie rénovée

mardi 21 juin 2011

Samedi midi, l'intercommunalité avait convié ses élus pour une visite des locaux de la brigade territoriale de gendarmerie récemment rénovée. Des travaux et études qui ont coûté un peu plus de 83 672 € toutes taxes comprises à la collectivité, à qui appartient la brigade. Pas de subventions et pas de récupération de TVA dans ce dossier « Car l'état verse un loyer à la communauté », indiquait Michel Lemétayer adjoint en charge des travaux qu'il a suivis minutieusement.

Le surplus de l'amiante

C'est en septembre que le chantier a débuté et s'est achevé en mars. Quelques mauvaises surprises, avec la découverte d'amiante qui a nécessité l'arrêt du chantier pendant 2 mois et donc un retard non prévu, mais aussi un coût financier supplémentaire. « Ces investissements sont un signe fort en direction des instances pour le maintien de la brigade à Plélan-le-Petit, indique le président de l'intercommunalité Pierrick Sorgniard. Cela permet d'améliorer les conditions de travail, l'accueil du public avec confidentialité. Nous sommes fiers d'avoir rendu l'établissement accessible aux personnes à mobilité réduite. »

Les travaux réalisés concernent la remise en état des dessous de toits avec reprises de charpente, la mise en place d'une rampe pour l'accès des personnes handicapées, la séparation du hall d'accueil avec l'installation d'une cloison et porte pour plus de discrétion, la réfection intégrale des peintures, l'installation d'une porte blindée avec codes et alarmes pour l'armurerie, la mise aux normes des sanitaires en inox et l'installation de chasse d'eau extérieure pour la cellule de placement, la mise aux normes totales de l'électricité, de la téléphonie et du câblage.

Une cave de l'appartement de fonction intégré au bâtiment de service a été supprimée et réunie avec un local d'archives pour former un bureau avec 2 postes de travail. La salle de détente a également été refaite et des fenêtres ont été posées dans cette pièce et le nouveau bureau. 80 % du carrelage a aussi été refait.

Pour les gendarmes, ce chantier a été très contraignant. Entre décembre et mars, ils n'ont plus été en mesure de travailler dans leurs locaux et ont dû rejoindre la brigade de Dinan. Pour le public, il n'y avait plus d'accueil et la nécessité aussi, de se déplacer à Dinan. « Ça a été un soulagement quand on a pu récupérer nos bureaux. C'est nettement plus confortable », affirme le gendarme Cédric Guit


la situation près fusion communautaire avec Plancoët

Fusion communautaire: l'avenir de la gendarmerie de Plélan le petit

compétences de la communauté de communes

Gestion et entretien des locaux de la gendarmerie du Pays de Plélan-le-Petit.


des données déguisées selon le vice président en charge du dossier?

Débats houleux autour du bâtiment de la gendarmerie -

samedi 05 mai 2012

Lors de la séance communautaire de mercredi, le président Pierrick Sorgniard a souhaité apporter des précisions quant aux travaux réalisés, l'an passé, dans le bâtiment administratif de la gendarmerie. « Le coût des travaux s'est élevé à 81 912,44 € TTC et il n'y a pas eu d'emprunt. Les travaux ont été réalisés en autofinancement. En 2008 le résultat était de 42 077 €, en 2009 de 63 709,30 € dont 30 000 € versés au budget général, en 2010 le résultat était de 61 664,30 € et un peu plus de 21 000 € ont été payés surtout pour des frais d'études, en 2011 le résultat était de 14 235,91 € avec 10 000 € versés au budget général et 59 909 € de travaux payés. »

C'est ensuite que le maire de Languédias, Michel Lemétayer, vice-président en charge du dossier gendarmerie est intervenu, s'adressant directement au maire de Plélan-le-Petit : « de vouloir prendre le bâtiment administratif de la gendarmerie, dont les travaux ont été faits sans emprunt. C'est limite du légal et pas beau de profiter d'une fusion pour récupérer un bâtiment qui a été rénové. »

« Il faut savoir qu'à Plancoët, la gendarmerie est gérée par le chef-lieu de canton, mais moi je n'ai rien demandé. Si tu veux la garder, prends la gendarmerie ! », répond Didier Miriel.

Le maire de La Landec, Alain Besnard, poursuit sur le fait que « La gendarmerie a une valeur. Quand on fera l'inventaire des biens rétrocédés, il y aura la valeur d'actif et le passif. Il faudra la sortir du stock de la communauté de communes. »

« Ça n'a jamais été ça. Pourquoi Plélan reprendrait quelque chose ? Alors débrouillez-vous », répond Didier Miriel.

Et le maire de Languédias de revenir à la charge : « Pourquoi la caserne et pas l'ensemble de la gendarmerie ? »

« Car c'est la même chose sur Plancoët. Je ne vais pas inventer les choses. J'aimerais bien avoir les autres avis des communes. On ne va pas prendre un passif énorme de la communauté de communes », répond Didier Miriel.

« C'est un problème technique. Plancoët prend tout ce qu'il y a Plélan, l'actif et le passif », poursuit Alain Besnard.

« Les comptes sont bons, mais avec des rentrées d'argent depuis des décennies, et très peu de travaux de faits, ce qui fait des chiffres qui ne sont pas très bons quand on ne parle que d'une caserne », indique Michel Lemétayer s'adressant au président qui se justifie pour « avoir parlé du budget primitif de la gendarmerie et j'ai autre chose à faire que de déguiser les données. » Quelque peu excédé, il clôt le débat. L'ambiance est plombée.


Les logements des gendarmes pourraient être classés insalubres

mercredi 28 novembre 2012

L'histoire

L'année dernière, le bâtiment administratif de la gendarmerie a été rénové, il est communautaire. Il a été construit en 1974 avec six logements de fonction. Aujourd'hui, se pose le problème de la rénovation des logements de fonction.

L'adjoint communautaire Michel Lemétayer a présenté le dossier lundi soir, en séance intercommunale. « J'ai été convoqué aux affaires immobilières de Saint-Brieuc. Le site de la gendarmerie de Plélan-le-Petit n'est pas remis en cause, mais s'il n'y a pas de travaux faits dans les six logements, il y aura une nouvelle visite des affaires immobilières qui reclassera les appartements en catégorie insalubres et les loyers ne seront plus payés ».

Avec la fusion communautaire, les élus cherchent une solution pour les bâtiments de fonction. Une estimation du service des Domaines a été faite pour la vente de ceux-ci : environ 400 000 € « Et il faut compter autant pour la rénovation », a poursuivi Michel Lemétayer. Prix que les élus jugent élevé.

Des courriers ont été envoyés à des offices des HLM. Dans le cadre d'une vente, le nouveau propriétaire devrait s'engager à des travaux immédiats « sous peine d'une reconstruction d'une nouvelle gendarmerie ailleurs. Et s'il n'y a pas d'acquéreur ? Que fait-on ? Et au 1 er janvier à qui seront versés les loyers ? Il semblerait que la nouvelle entité n'ait pas d'autre choix que de reprendre le site », a indiqué Michel Lemétayer.

Il compte fortement sur sa rencontre avec le sous-préfet le 4 décembre, pour aborder le sujet, car « La situation n'est pas simple ». En attendant une éventuelle vente, le président Pierrick Sorgniard pense que la solution temporaire est la reprise par la future communauté Plancoët Plélan.

27 192,88 € de loyers

De son côté, le maire de Plélan Didier Miriel, indique : « Je comprends leur fermeté, car c'est quelque chose qui dure depuis environ 20 ans. Ils ont été patients jusque-là ».

Le prêt communautaire est terminé depuis de nombreuses années (au moins 15 ans) et l'intercommunalité a encaissé les loyers sans contrepartie de travaux (27 192,88 € en 2012) « L'excédent du budget gendarmerie a toujours été mis sur le budget principal » précisait Michel Lemétayer. « Ici, personne ne vit dans des logements comme les gendarmes ». Selon les élus, « L'électricité n'est plus aux normes, il y a de l'humidité, le vide sanitaire est une vraie piscine. Il aurait fallu un entretien tous les 20 ans ». « Est-ce que ça ne va pas effrayer un office d'HLM entre le prix de vente et les travaux ? » interroge Didier Miriel qui souhaite que la gendarmerie reste à Plélan et réaffirme « Qu'il va falloir trouver une solution derrière tout ça ». Pour le président, « Il y a plusieurs niveaux de réflexions à avoir, tout d'abord pour savoir si le prix estimé est définitif et une réflexion à un plan B : un syndicat ? On est propriétaires du bâtiment, les 400 000 € d'achat il n'y a pas à les sortir ». « Les affaires prennent une tournure qui n'était pas celle des années précédentes », conclut Michel Lemétayer.


Logements de la gendarmerie : précisions

samedi 01 décembre 2012

Jean-Michel Lemétayer, vice-président de l'intercommunalité, souhaite apporte des précisions relatives à l'article paru dans Ouest-France le 28 novembre et concernant les logements de fonction de la gendarmerie.

« Premièrement, si insalubrité, celle-ci ne concernerait pas la totalité des logements. D'une part, je n'ai pas été convoqué à Saint-Brieuc, ce sont les responsables des affaires immobilières qui sont venus visiter les logements. D'autre part, si le service des Domaines estime une valeur de 400 000 €, comment se fait-il qu'un autre service également de l'État parle d'insalubrité ? Il y a forcément une incohérence et je souhaite que l'on me l'explique ; »




ouest france 30 mai 2013 Bail de location gendarmerie de Plélan

« La communauté de communes du Pays de Plélan louait des locaux à la gendarmerie pour y abriter la caserne de Plélan-le-Petit, bail en date du 17 juin 2010 », a informé le président Michel Raffray. Le nouvel EPCI Plancoët-Plélan se substitue désormais au Pays de Plélan. À compter du 1 er juillet 2013 le montant annuel du loyer, sur proposition de la gendarmerie, est fixé à 29 836,88 € au lieu de 27 192,88 € précédemment.




Octobre 2014

Les élus s'inquiètent de l'avenir des logements des gendarmes

  • |

Lors du dernier conseil, le maire, Didier Miriel, a indiqué avoir rencontré les gendarmes de la brigade de Plélan-le-Petit.

Ceux-ci lui ont fait part de leurs remarques, quant à l'état de leurs logements.

Ils ne sont plus que 4 sur 6, et, les élus s'inquiètent de l'avenir de la brigade si rien n'est fait.

Le bâtiment administratif avait été rénové juste avant la fusion de la communauté de communes, mais depuis rien n'a été fait pour ces logements. La gendarmerie est communautaire, reprise lors de la fusion par l'entité communauté de communes Plancoët-Plélan.

Il était envisagé que Côtes-d'Armor habitat reprenne les bâtiments. « Pourquoi ça reste en plan, on veut faire mourir des choses et certains ne prennent pas leurs responsabilités », indiquait l'adjoint aux travaux, Rémi Huet.

« Côtes-d'Armor habitat doit racheter les bâtiments à la communauté de communes. À mon avis, la communauté ne veut pas faire de frais et Côtes-d'Armor habitat, je ne sais pas ce qu'ils veulent », confiait le maire.

Karine Besnard, élue de la minorité, a regretté que la brigade ne soit ouverte que le mercredi et qu'il faille se déplacer à Dinan ou Plancoët. Les élus ont poursuivi sur l'état des logements où on parle « d'humidité et de champignons ».

« Dans de mauvaises conditions, ils auront envie de partir. Il faut que chacun prenne ses responsabilités », reprenait Rémi Huet. Et Yvon Fairier, adjoint aux finances, d'interroger : « Est-ce que les démarches sont faites ? »

« À mon avis, c'est resté dans un tiroir quelque part. Il y a peut-être quelques soucis à régler entre l'intercommunalité et Côtes-d'Armor habitat. Il faut accélérer les choses, ça ne peut pas rester comme ça », répondait Didier Miriel. De son côté, la conseillère Pascale Guilcher, a indiqué avoir relancé Côtes-d'Armor habitat cet été et elle devrait avoir un nouveau rendez vous


Plélan le Petit: fermeture de la gendarmerie


Le petit bleu mai 2015

Plélan-le-Petit va perdre sa gendarmerie

La gendarmerie devrait fermer dans le courant de l'été

« Disséminer les effectifs n’est pas un gage d’efficacité. La délinquance est de plus en plus mobile et structurée. Elle vient en particulier des pays de l’Est. Avec une concentration des moyens, nous estimons que nous serons plus efficaces. Nous avons constaté que le nombre de plaintes recueillies sur place ou de personnes convoquées était très faible. », indique le Colonel Leclerc

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans GENDARMERIE
14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 18:12

 

Saint-Méloir-des-Bois
mardi 23 août 2011
L'abbé Yves Corbel a été chaleureusement entouré lors de sa dernière messe à Saint-Méloir-des-Bois.

Appelé vers d'autres horizons à partir de septembre prochain, l'abbé Yves Corbel, responsable de la paroisse à 6 clochers de Plélan, a célébré sa dernière messe dans l'église du relais de Saint-Méloir-des-Bois. L'occasion pour la municipalité et les fidèles de lui rendre hommage.

« Votre départ, même si nous le comprenons, nous fait éprouver un sentiment d'impuissance et d'abandon, devant la disparition d'un pilier de la vie rurale » a déclaré le maire, Michel Desbois, en s'adressant à l'abbé Corbel. Le premier magistrat a salué le travail du ministre du culte pendant les 15 années de son ministère en pays plélanais. Il a aussi souligné les qualités du prêtre : « Un homme disponible, tolérant, simple et généreux, un curé de campagne à l'engagement décidé et à la bonne humeur communicative », avant de lui remettre la médaille de la commune.

À noter que la messe d'au revoir de l'abbé Corbel aura lieu le dimanche 4 septembre prochain, à l'église de Plélan-le-Petit.

 

 Plélan-le-Petit
samedi 25 juin 2011
L'abbé Yves Corbel a reçu la médaille de la commune des mains du maire Didier Miriel en souvenir de son passage dans la paroisse.
L'abbé Corbel.... la médaille de la commune

À l'issue du conseil municipal jeudi soir, les élus ont accueilli l'abbé Yves Corbel et des responsables paroissiaux des différentes communes. C'était le dernier conseil municipal avant le départ du prêtre...

 

...autres articles ou extraits dans la presse

 

La tristesse du départ

À l'issue de la messe, un verre de l'amitié a été servi, à la salle de l'Embarcadère où un grand nombre de personnes est venu témoigner leur amitié à l'abbé Corbel. Les maires des différentes communes ont témoigné à l'abbé Corbel la tristesse que provoque son départ. «Je n'avais pas envie de vivre ce moment-là, mais ça y est, on y arrive, nous avons toujours eu de bonnes relations. Vous avez toujours été de bonne humeur, blagueur et tellement bon. Je vous dis encore merci et bonne route», a indiqué le maire de Plélan, Didier Miriel. Et Pierrick Sorgniard, président de la communauté de communes d'ajouter: «Jeconnais bien les Corbel puisque je suis de la même région d'origine, Plélo. Cesont des gens de projets, de convictions, de parole et de grande humanité, tout ce qui ressort de votre visage.» Des moments d'émotions répétés par toutes les personnes qui n'ont eu qu'un mot à la bouche, le regret. L'abbé Corbela conclu ainsi: «Merci à tous, le prêtre n'est qu'un humble serviteur, notre communauté chrétienne doit progresser pour plus d'amitié dans nos familles, dans nos vies.»

 

Église. Dernière profession de foi pour l'abbé Corbel

17 juin 2011

Dimanche, l'église était remplie pour accueillir les douze jeunes célébrant leur profession de foi. Moment d'émotion préparé tout au long de l'année et lors du week-end de retraite à l'abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer.


Départ de la paroisse enseptembre

À l'issue de la cérémonie, ils ont remercié Armelle Orinel, Marie-Pierre Grosset et l'abbé Corbel pour les avoir accompagnés sur ce chemin. Un petit pincement au coeur est venu s'ajouter à cette journée de fête, car les personnes présentes savaient que c'était la dernière profession de foi qu'animait l'abbé Corbel. Après quinze années passées dans la commune, il quittera la paroisse au mois de septembre, pour rejoindre la grande paroisse de Plérin - Pordic, pour aider l'abbé Loïc Lequellec (37 ans) qui, en plus de sa responsabilité de curé, assure des cours au séminaire de Rennes. La paroisse de Plélan dépendra de l'abbé Henri Cocheril, curé de Dinan.

 

Dernière messe avec l'abbé Corbel, dimanche - Plélan-le-Petit
vendredi 02 septembre 2011
À 82 ans, l'abbé Yves Corbel quitte la paroisse de Plélan-le-Petit pour rejoindre Plérin-Pordic.

Après 15 années passées au service de la paroisse à six clochers, l'abbé Yves Corbel célébrera sa dernière messe dimanche. Il rejoindra après le 11 septembre, la paroisse de Plérin-Pordic de 20 000 habitants et continuera de travailler avec l'abbé Loïc Le Quellec.

Nul doute que les fidèles seront nombreux pour cette messe d'au revoir probablement chargée en émotion pour tous. Déjà, lors de la célébration de son dernier mariage à La Landec samedi dernier, le prêtre a eu une petite larme... Un vin d'honneur sera servi à la salle socioculturelle de l'Embarcadère à l'issue de la célébration, en présence des élus locaux.

Dimanche 4 septembre, messe à 10 h 30 à l'église.

 

Des fidèles nombreux pour l'au revoir à l'abbé Corbel - Plélan-le-Petit
mercredi 07 septembre 2011
L'abbé Yes Corbel, dimanche, pour sa dernière célébration religieuse.

C'était une belle et grande cérémonie dimanche matin, à l'église, pour le secteur paroissial. La dernière messe et action de grâce de l'abbé Yves Corbel.

Les fidèles sont venus nombreux écouter et participer à la célébration et l'ont généreusement applaudi à l'issue de celle-ci. Le prêtre prendra en effet le départ pour la paroisse de Plérin-Pordic, le 14 septembre prochain, après 15 années passées à Plélan-le-Petit en ministère sur la paroisse à 6 clochers.

Il aura célébré 600 baptêmes, 190 mariages et 450 autres cérémonies religieuses, mais eu également beaucoup de joie lors des célébrations avec les enfants et les catéchistes, lors des grandes fêtes de Noël, Pâques, communions, confirmations, les pardons dans les relais...

L'unanimité

Une personne très active dans la commune, qualifiée par les élus d'homme simple, de contacts, ouvert à tous et ayant toujours un petit mot d'humour. À l'issue de la messe, les fidèles et élus étaient invités à l'Embarcadère pour une autre forme d'au revoir autour d'un verre de l'amitié. Tous les maires présents, le président de l'intercommunalité et le responsable de la paroisse lui ont rendu hommage successivement.

« C'est un jour important pour la paroisse et la commune avec vote départ après 15 ans passés dans la commune. Vous êtes le dernier résident de la maison pastorale. J'aurais aimé ne pas vivre ce moment-là, mais aimé qu'il reste un prêtre à Plélan-le-Petit. Nous sommes arrivés presque en même temps. J'ai beaucoup d'amitié pour vous, vous êtes quelqu'un d'ouvert vis-à-vis de tous pour discuter avec toujours une petite pointe d'humour bien efficace » indiquait le maire de la commune, Didier Miriel.

L'abbé Corbel a ensuite pris la parole « Nous sommes de moins en moins de prêtres, c'est pour ça qu'on dure, ce n'est pas le moment de caler ! C'est important qu'il y ait des prêtres ».

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by collectifmoutonnoir - dans RELIGION